Un café d’exception, dans un écrin pour la maison
- ImagineCréa01

- 14 oct.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 21 oct.
Publi-reportage” storytelling + valorisation de design graphique pour présenter notre travail de refonte, ou de création de logo et packaging.
De l’idée au processus créatif.
Quand nous avons eu le plaisir de repenser leur identité visuelle, l’objectif était clair : créer un univers à la hauteur de leur savoir-faire.
Un logo repensé — plus graphique, plus structuré, plus affirmé — pour incarner cette exigence et cette élégance artisanale.
Chaque sachet devait raconter une histoire : celle d’un café choisi avec soin, torréfié avec passion, présenté dans un emballage qui attire l’œil et trouve naturellement sa place dans les intérieurs.
Un packaging pensé comme un objet d’émotion : que l’on expose pour son design, qu’on ouvre pour le plaisir des arômes.
Parce qu’un grand café, c’est aussi une expérience visuelle, une émotion à savourer avant même la première gorgée. Et les Cafés Allombert le prouvent chaque jour.
du grain au graphisme.
Le premier travail consiste à définir une palette de couleurs, un langage de formes et un univers graphique inspiré du lieu et de l’histoire de la marque. C’est cette recherche qui donne sens et cohérence au design final, pour créer un visuel qui parle à la fois au regard et à la mémoire.

Les arcs arrondis supérieurs du logo ne sont pas parfaitement symétriques.
Ce choix graphique, loin d’être un hasard, permet d’aérer la composition, d’améliorer la lisibilité de la marque et d’y insuffler une touche « vintage » qui évoque les codes du design d’époque.


Et vous, quel détail graphique attire votre regard en premier ?

La torréfaction du café est un art ancien, un rituel où la chaleur devient pinceau et le grain, toile. C’est dans le feu que le café révèle sa véritable âme. Avant cela, il n’est qu’une promesse verte et discrète, renfermant en son cœur des arômes encore endormis.
Lorsque le torréfacteur verse les grains dans le tambour chaud, un doux crépitement s’élève : c’est le « premier crack », le moment magique où le café s’éveille. Les senteurs se métamorphosent, oscillant entre le pain grillé, le caramel, le cacao et parfois même des notes florales ou fruitées. Chaque seconde compte — trop court, le café reste acide et vif ; trop long, il devient amer et lourd.
Le maître-torréfacteur écoute, observe, hume. Il ajuste le feu comme on ajuste un souffle. Son savoir-faire réside dans cet équilibre fragile entre la science et la sensibilité. Car chaque origine, chaque récolte mérite une torréfaction sur mesure, qui en révèle les nuances et le caractère unique.
À la fin du voyage, les grains brunis reposent, exhalant un parfum profond et enveloppant. C’est le prélude à la tasse, la promesse d’un instant suspendu où la chaleur du feu rencontre celle du cœur.
La torréfaction, c’est bien plus qu’une étape : c’est une transformation, un dialogue entre la nature et l’homme. Une danse de flamme et de patience qui donne naissance à l’un des plaisirs les plus universels et intimes du monde : le café.



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